Ateliers réalisés par les scolaires et les structures sociales du Quartier Gare, de la ville de Strasbourg et au-delà.
Ateliers conçus par Stimultania.
Avec l'École des Romains - Koenigshoffen et la MJC de Schiltigheim.
Ainsi que Entraide Le Relais - Ateliers Passerelle.
Dans le cadre de l'exposition Les Blanches Terres d'Amélie Cabocel.
L’exposition Les Blanches Terres, présentait le travail d’une jeune artiste lorraine, Amélie Cabocel. Réalisatrice et petite-fille de Michelle, elle s’invite au lieu-dit des Blanches Terres, et propose à Michelle et « aux cousins » d’être au cœur de son nouveau travail photographique.
Michelle et ses proches, acteurs du film éponyme, se révèlent singulièrement dans cette exposition qui raconte la vieillesse et qui questionne la place de la photographie dans leur vie, à plus de 80 ans : est-ce un moyen de laisser une trace, est-ce la synthèse d’une existence ?
L’exposition expérimente une triple mise en abyme : la préparation d’une exposition au Centre Culturel André Malraux (Vandœuvre-lès-Nancy), filmée pendant son élaboration, et réexposée à Stimultania. Elle comprenait une trentaine de photographies, cinq extraits du film, un livre d’artiste et des citations des protagonistes.
ATELIER “FRISE GÉNÉALOGIQUE”
Lors de la visite de l’exposition, les enfants découvraient, intégré au parcours, un leporello, ce livre présenté debout et qui prend la forme d’une frise, se dépliant comme un accordéon. L’artiste y avait intégré des photos de sa grand-mère, détourées telles des vignettes.
À travers la technique du dessin, du collage, et de la manipulation de l’image, les enfants créaient leur propre loporello, basé sur leur vécu et celui de leurs grands-parents !
Les enfants pouvaient amener une photographie d’eux et/ou de l’un de leurs grands-parents pour l’intégrer à la création ; ils pouvaient également réaliser des prises de vue de leur leporello dans l’espace d’exposition.
ATELIER “L’EXPOSITION MINUSCULE”
L’exposition d’Amélie Cabocel présente des fragments de ces « vies minuscules » qui font vivre encore des lieux-dits tels que « Les Blanches Terres ». L’exposition, à travers diférents médiums, raconte la vie de sa grand-mère, Michelle, et des ses proches.
En s’inspirant de la scénographie présentée pour l’occasion à Stimultania, les participants créaient une maquette de leur propre exposition, composée de différents types d’expôts, en s’appuyant sur le vécu d’un proche, ou d’un parent imaginaire. En fin d’atelier, les participants s’essayaient au délicat exercice de la photographie d’exposition, via la maquette réalisée.